Publié le 27/01/2010 à 15:55 par lysianne93
J'ai mal dans mon coeur,
Il est rempli et déborde de pleurs,
Rien ne sait vraiment l'apaiser,
Maman déchue de son droit d'aimer,
Quand l'émotion est vraiment trop forte,
Laisser mon esprit prendre le dessus m'insupporte,
Et que mes larmes m'échappent malgré moi,
Je me hais dans ce cas là,
Quand apparaissent mes terreurs,
Faire subir aux autres ma douleur,
Je me sens toute petite si vulnérable,
Je suis surtout si minable si pitoyable.
Lysianne93
Texte déposé
Publié le 08/06/2009 à 15:32 par lysianne93
Entendez dans mon silence mes hurlements.
Je n'en peux plus, j'ai si mal.
Mon corps agonise de toute cette souffrance.
Je crève un peu plus à chaque instant qui passe.
Je suis au fond du gouffre la douleur m' empêche de remonter.
Je donnerai tout pour quelques secondes avec toi.
Te faire un bisou, caresser ta joue, sentir ton odeur.
Le manque de toi m'enveloppe toute entière.
Tout est si vide de sens pour moi pourquoi continuer.
Il me manque le courage que tu as eu.
Lysianne93
Texte déposé
Publié le 08/05/2009 à 12:00 par lysianne93
Chaque jour qui passe, me rapproche un peu plus de toi.
Reviendra le jour ou nous pourrons à nouveau fêter ton anniversaire ensemble.
Bon anniversaire mon grand, je t'aime.
Lysianne93
Texte déposé
Publié le 05/01/2009 à 12:00 par lysianne93
Mon corps est un énorme nœud, et mes larmes le resserre un peu chaque jour.
Lysianne93
Texte déposé
Publié le 09/05/2008 à 12:00 par lysianne93
Mon fils,
Aujourd'hui tu as 30 ans,
J'espère que là ou tu es tes souffrances sont apaisées,
Que le bonheur et la paix tu as trouvé,
Tu fais pour toujours parti de mon présent,
Toi mon fils unique mon enfant
Je t'aime éperdument au delà du temps.
BON ANNIVERSAIRE.
Lysianne 93
Texte déposé.
Publié le 28/01/2008 à 12:00 par lysianne93
Partir ou rester
Passer de l'autre côté
Pour te retrouver
Sans cesse tiraillée
Par ses deux idées
Pourquoi continuer
Pour mon mari adoré
Mes petits enfants bien aimés
Tu me manques tellement
J'en crève à chaque instant
Tout est si différent
Se laisser porter par le vent
Trouver enfin l'apaisement
Dans combien de temps
Tu es parti depuis trois ans
Mon fils je t'aime au delà du présent.
Lysianne 93
Texte déposé.
Publié le 25/12/2007 à 12:00 par lysianne93
La souffrance est un séisme dont il n'existe pas d'échelle pour en mesurer l'ampleur.
Lysianne93
Texte déposé
Publié le 30/07/2007 à 12:00 par lysianne93
Le temps perdu à ressasser tes mauvais souvenirs, t'empêches pendant ce temps là d'en fabriquer des merveilleux
Lysianne93
Texte déposé
Publié le 11/04/2007 à 12:00 par lysianne93

Quelle absurdité « faire un travail de deuil » n'est pas une tache que l'on se doit d'accomplir, comme refaire ses papiers peints, afin que tout soit bien propre, bien lisse, ni faire sa lessive, afin que le linge sente bon, ni astiquer le sol afin que plus aucune taches ne viennent troubler l'ordre visuel, non, c'est un état permanent qui à, à jamais bouffé votre insouciance , qui vous fait plonger d'un coup au bord de la folie, qui vous donne une sensation d'étouffement permanent, ne plus jamais avoir l'impression de respirer à plein poumons, qui à éteint votre flamme intérieure, qui vous étiole, un état qui fait fuir, car ça vous change profondément, je ne peux plus ressentir de joie pour noël, jour de l'an, anniversaire, etc... ces jours là au contraire, la douleur vous explose en plein visage, ne me souhaitez plus plus « bon » anniversaire, ni autre chose, ça ne pourra plus jamais être le cas.
Le temps n'efface rien, il ne fait que prolonger la souffrance.
Lysianne 93
Texte déposé.
Publié le 27/01/2007 à 12:00 par lysianne93
Mon coeur est rempli de larmes de verre,
Cristallisées aux goûts amères,
Que je n'arrive plus à extérioriser,
Marcher jours et nuits sans discontinuer,
Afin que mon corps et mon esprit,
Souffre d'autre chose que l'absence ressentie,
Les autres disent la vie continue,
Mais pour moi elle c'est interrompue,
6 mois, 1 an, 2 ans, le temps ne saurait me soulager,
Ils ne comprennent pas que j'en ai pris à perpétuité,
Il est si dur de savoir se comporter en société,
Trop ou pas assez d'émotions font jaser,
Le masque est bien fixé ne pas le retirer,
Afin que personne ne soit exaspéré,
Pour vous il fait parti du passé désormais,
Pour moi il fait parti de mon avenir à jamais.
Quel paradoxe que cette absence si présente.
Lysianne 93
Texte déposé.